Article rédigé par Mnémosyne le 2 mai 2024

Dans cet article long et détaillé, offrant une analyse complète du sujet d’être « unique », je souhaite partager avec vous deux éléments clés qui m’ont permis de mener une vie extraordinaire et qui selon moi, sont ces mêmes ingrédients à votre réussite personnelle pour devenir la personne dont vous rêvez d’être et mener la vie que vous espérez au fond de votre âme . Je ne suis peut-être pas fortunée, mais je considère ma vie comme une vie remarquable. Pour la première fois, je vais vous dévoiler une partie de mon histoire personnelle pour vous montrer l’atmosphère et l’environnement dans lesquels j’ai grandi, et comment j’ai continué d’avancer malgré les difficultés.

Mon objectif est de vous inspirer chaque fois que vous ressentez de l’insatisfaction envers votre vie, en vous montrant que vous n’êtes pas seul(e) dans cette situation. Peut-être que mon récit sera ce soutien dont vous avez besoin pour vous relever.

Si beaucoup de gens vous diront « Oh là là, encore une qui nous raconte sa vie » ou « Tout le monde a ses problèmes », il est vrai que chacun a ses épreuves à surmonter. Cependant, ce n’est pas parce que vous avez souffert et que la vie n’ a pas toujours été tendre que vous devez ignorer les histoires des autres, surtout si vous êtes les premiers à chercher des solutions pour sortir de vos propres difficultés.

Souvent, écouter les expériences personnelles des autres peut apporter des éclairages précieux. Je sais très bien qu’aussi longtemps que je vivrai, je vous louerai mon expérience pour vous dire que si vous me lisez aujourd’hui, c’est qu’une part de vous cherche à trouver des ressources pour créer la vie dont vous rêvez ou lui donner un sens.

 

 Alors, lisez jusqu’à la fin pour en tirer pleinement profit.

 

Une vie pas comme les autres …

Je n’ai pas eu une enfance malheureuse, mais elle a été marquée par des scènes que je n’aurais pas dû voir, ce qui m’a rendue plus résiliente et qui fait que la définition de la souffrance je la connaît sur les bouts des doigts car je l’ ai connu tôt. De plus, ma médiumnité était déjà présente, mais je ne pouvais pas l’accepter car personne ne savait que j’avais cette capacité, même si on soupçonnait souvent que les événements étranges étaient liés à moi ou me concernaient.

 
Ma nature de médium m’a amenée à vivre différemment des autres enfants ainsi que de tous les adultes autour de moi car tout est décuplé , et si on est pas ancré à la réalité on peut basculer dans la folie à cause des ignorants de cette société . Ce passage de ma vie n’est pas à négliger car il m’a souvent porté préjudice .

Dans ma vie personnelle , j’ai grandi sans être nourrit d’amour. Ce n’est pas que je n’étais pas aimée, mais plutôt mal aimée, car ceux qui auraient dû m’aimer ne comprenaient pas vraiment l’amour en raison de leur propre passé et parce qu’ils ignoraient ce que je savais d’eux.

J’ai grandi avec l’image d’une enfant sage qui devait être parfaite, sans place pour l’imperfection. Malgré mon innocence, ma protection envers les autres et mon affection sincère pour la vie et les gens que j’aimais profondément, j’attirais des personnes malveillantes et je n’ai pas vécu ma vie d’enfant , j’étais une enfant précoce à qui on attribuait un rôle parental. J’ai souffert d’abandon à plusieurs moments clés de ma vie , de rejet à cause de ma couleur de peau, et il m’a fallu 22 ans pour enfin accepter ma couleur de peau en réalisant que les femmes blanches souhaitaient en réalité me ressembler. Encore aujourd’hui, certaines cherchent à trouver des rides sur mon visage pour se comparer à moi et se rassurer, mais c’est en vain.
J’ai été victime de racisme, notamment lorsqu’un jour, une personne a accéléré pour tenter de me renverser sur un passage piéton alors que j’étais accompagnée de mon enfant de 4 ans. Cet individu était bien connu pour ne pas cacher son aversion envers toute personne qui n’avait pas la peau blanche. Faut le vivre pour le croire ,
Mais encore aujourd’hui, certaines personnes ont du mal à accepter que des personnes de couleur puissent être plus compétentes ou réussir mieux qu’elles. En tant que métisse, je dérangeais car j’ai souvent entendu que je devais retourner dans mon pays , qui je le précise est un territoire Français et s’appelle l’Ile de la Réunion ou beaucoup de touristes aiment s’y réfugier durant les vacances. Il y a deux ans, j’ai entendu des remarques du genre « Je ne partagerai pas ses publications sur les réseaux sociaux parce qu’elle n’est pas blanche.

 
Pour ma part, je ne tiens pas compte de l’âge, ni de la religion, ni de la couleur de peau, car pour moi, seule la couleur de notre âme importe : elle peut être noire pour le côté obscur ou blanche pour ceux à l’esprit pur.

Le pire, c’est qu’à un jeune âge, j’ai connu une véritable descente aux enfers, comprenant un grave accident de la route à l’âge de 17 ans , l’anorexie, la trahison familiale ,conjugale, financière à plusieurs reprises, la méchanceté gratuite, l’injustice , le manque de respect et la violence sous toutes ses formes.

 
Si certains diront que ce ne sont que des balivernes, croyez-le ou non, j’ai subi de la sorcellerie, lancée contre moi involontairement et parfois de manière délibérée, ce qui faisait que dans ma vie à chaque fois que je me relevais , d’autres épreuves survenaient en masse, encore plus difficiles.

Ma vie m’a souvent plongée dans une solitude profonde, même lorsque j’étais entourée de gens. J’étais en réalité seule face à ma destinée, vivant comme une orpheline.
Sans repères ni modèles, j’ai forgé mon caractère au fil des ans.

 

J’ai vécu ce qu’ on appelle la nuit noire de l’ âme ou j’ ai cru à deux reprises dans ma vie que j’allais mourir les yeux ouverts consciente de ce qui m’arrivait sans pouvoir réagir la pire des morts .

J’ai traversé des drames si intenses que je ne les aborderai pas ici. Je préfère les traiter dans un livre que j’écris depuis 2018 mais j’ai un passé lourd d’épreuves difficiles !

J’étais souvent incomprise par mon entourage et j’ai vite réalisé que je n’étais pas comme les autres, prenant le rôle du vilain petit canard. J’aurais pu rester dans ce rôle que la vie m’a attribué si jeune, devenant une victime mais
j’ai choisi d’incarner mes valeurs : la joie et le positivisme malgré une vie tourmentée.

 En effet, à l’âge de 18 ans  une de mes tantes qui me gardait régulièrement chez elle quand j’étais petite , m’a rejetée brutalement en m’accusant d’être responsable de l’accident de route de sa fille qui est devenue handicapée, bien que je n’y sois pour rien. Ma simple existence la dérangeait, et elle estimait que c’était moi qui devais subir les conséquences et non elle. Elle ne m’a jamais rien dit en face, et personne ne m’a défendu. Cette expérience a su me donner une nette définition de la lâcheté de l’homme avec grand H  .

 
Se défendre contre vents et marées » pourrait être le titre de cette vie que j’ai souvent détestée.

 
Durant toute ma jeunesse, j’ai entendu dire que j’étais bizarre, que je devais « crevée » ou que je n’avais aucune raison d’exister, uniquement par pure jalousie et par la part que je qualifierais aujourd’hui d’impure des esprits.

 
Encore aujourd’hui, certaines personnes malveillantes me méprisent, frustrées par leur propre vie, et elles se réjouiraient de me voir souffrir si elles en avaient l’occasion.
Ce qui est le plus décevant, c’est que ceux qui me trahissent sont souvent les plus proches de moi ou que j’ai laissé entrer dans ma vie ( beaucoup vont se reconnaître…) .

 
Parce que l’ego domine trop dans cette société, on m’attend toujours au tournant. Ainsi, on suit l’évolution de ma vie principalement sur le plan professionnel, car dans ma vie privée, j’ai généralement choisi d’être discrète.

On m’a souvent mis des obstacles sur mon chemin sans raison , jugée  par certaines personnes qui n’étaient pas de même énergie vibratoire que moi , sans valeurs. J’ai même eu des plaintes contre moi dans mon dos pour que je sois renvoyée de mon travail à l’époque, sous prétexte que je portais des talons hauts et que j’étais trop jolie et sexy. En réalité, je faisais peur aux femmes qui redoutaient que je leur prenne leurs maris ou qui ne supportaient pas de me voir car elles avaient un manque de confiance en elle. C’était absurde que ces femmes me comparaient à elle alors que j’avais seulement une vingtaine d’années, elles qui en avaient 20 de plus que moi . On en parle jamais mais nous les femmes on sait combien ces anecdotes douloureuses sont réelles et peuvent marquer notre esprit surtout quand on sait qui on est .

Ces absurdités m’ont coûté cher au cours de ma vie. Malgré tout, j’ai continué à avancer, même si la vie me confrontait constamment à des défis et notamment à la pauvreté. À un moment donné, à l’âge de 17 ans, j’ai offert mon temps en m’investissant auprès de la banque alimentaire, mais à 22 ans, je me suis retrouvée dans le camp des personnes à aider.

 
Je me souviens douloureusement d’un jeudi soir, juste avant de retrouver ma famille pour fêter Noël. Je me rendais à la banque alimentaire en me posant des questions sur mon avenir. À l’époque, j’étais déjà éducatrice, mais j’élevais mon fils seule et mon divorce brutal à 22 ans m’avait plongée dans la pauvreté J’ai longtemps été tiraillée, essayant de progresser malgré les obstacles.

 

 C’est autour de ma trentaine que ma vie a pris un nouveau sens, et je n’aurais jamais imaginé devenir la personne que je suis aujourd’hui. C’est dans l’obscurité de mon âme que j’ai découvert qui j’étais et comment voir la vie de manière plus positive et colorée car il ne faut pas se leurrer ma vie a continué à être par moment ardue mais ma façon de voir mes épreuves différemment et de comprendre mes leçons de vie ont été une révélation et aujourd’hui je ne pourrais plus vivre aussi ignorante .

 
Je vais parler de cette philosophie de vie ci-dessous, ces ingrédients pour ne pas devenir comme les autres .

 

II . Transformer les défis en victoires : L’art de la résilience

Pendant des années, on m’a empêché d’être moi-même, mais j’ai finalement réussi à me libérer de certaines situations. J’ai transformé mes obstacles en défis à relever, et aujourd’hui, même si j’ai encore autour de moi des personnes qualifiées de perverses narcissiques, mon métier et ma médiumnité m’ont aidée à comprendre comment vivre avec ces personnalités toxiques, même si cela reste difficile au quotidien.

 

Si vivre sur une île peut sembler paradisiaque pour certains, cela n’a pas été le cas pour moi lorsque, après mes études, mon compagnon de l’époque m’a forcée à tout quitter pour le suivre en Guadeloupe. Pendant trois ans, j’ai été isolée, sans amis ni famille, sans repères, et j’ai rencontré de nombreuses difficultés avec ce nouveau mode de vie, au point d’éprouver le mal du pays. Ni lui, ni moi étions originaire de cette île .

Cependant, lorsque mon fils a été confronté au racisme inversé, lui qui est né avec la peau claire, et qu’à seulement 6 ans il craignait pour sa sécurité à cause de conflits violents dans la cour d’école, j’ai dû mettre de côté mon rôle de mère pour remettre le manteau d’éducatrice , mon métier de base . J’ai alors cherché à lui proposer des activités qui lui permettraient d’exprimer ses émotions.

C’est ainsi qu’il a choisi le full-contact et a commencé à s’entraîner avec les plus grands. De retour en métropole, il est devenu un pionnier dans les clubs où il s’est formé à la boxe, et dès l’âge de 7 ans, on pouvait déjà voir chez lui l’âme d’un champion. À 16 ans, il est allé jusqu’en demi-finale des championnats de France à Paris .

Championnat de France à Paris 2022 

J’ai réussi à transformer mes expériences en une force, et la vie m’a enfin révélé le côté positif qu’il fallait exploiter. J’ai eu l’opportunité d’être figurante dans une série télévisée intitulée « Meurtres au paradis, » diffusée à l’époque sur France 2. J’ai joué aux côtés de célébrités et j’ai partagé cette expérience avec la sœur de mon chanteur préféré décédé, Jacob Desvarieux, du groupe Kassav’. C’est à ce moment-là que j’ai pris conscience que, sans devenir une star, je pouvais accomplir de grandes choses dans ma vie.

 

2015 Figurante dans la série télévisée sur France 2  » Meurtre au Paradis »

La résilience est la capacité de s’adapter et de rebondir face aux défis, aux obstacles ou aux traumatismes de la vie, elle devient une force qui permet de transformer ses épreuves en opportunités de croissance et d’accomplissement.

Souvent, on se perd en espérant que la médiumnité devienne notre conscience le temps d’un instant, mais pour vraiment valoriser nos expériences, il est essentiel d’accepter nos épreuves et d’apprendre à les voir sous un autre angle. Nous en sommes tous capable !

 

III.  La puissance de la foi

Souvent, j’ai envie d’abandonner ce que je fais parce que je suis une passionnée et émotive, et lorsque je m’investis, je le fais pleinement. Cependant, mes objectifs ne sont pas toujours atteints, notamment dans le domaine professionnel. Alors que certains voient le voyage comme une réussite, pour moi, il est devenu un ancrage. En travaillant sans cesse entre la maison et le cabinet à proximité, mon métier d’accompagnement et ma pratique de la médiumnité sont très épuisants, même si cela peut sembler autrement.

Je traverse régulièrement des turbulences émotionnelles, et sans ces voyages, je reste enfermée dans une vie émotionnellement chargée. J’ai souvent eu des parcours de vie qui m’ont amenée, comme cela arrive à chacun d’entre nous, à comprendre ma raison d’être et ma vocation dans cette vie. Lorsque j’ai traversé mes nuits sombres de l’âme, je me suis éveillée, ce qui m’a menée à la spiritualité à une époque où les réseaux sociaux n’avaient pas d’influence. J’ai été guidée par mes guides qui m’ont initiée.

Ils m’ont poussée à sortir de ma zone de confort, moi qui étais peureuse, anxieuse, craignant tout, de voyager seule ou de m’aventurer dans l’inconnu. Pourtant, en adoptant leur énergie, j’ai mis de côté le doute et avancé avec détermination pour découvrir tout ce qui m’était nécessaire pour devenir indépendante et vivre des expériences inoubliables.

 
Il est difficile de me cerner car je n’ai jamais voulu me complaire dans un rôle de victime. J’explique à chaque personne que je rencontre que s’il y a un problème, il y aura aussi une ou plusieurs solutions, et cette façon de penser amène à croire en soi !

J’aurais pu mal finir avec toutes les péripéties de ma vie ou choisir une vie plus tranquille, avec un cabinet où je reçois mes consultants, mais j’ai plutôt choisi une vie alignée avec ce que j’aime faire et ce que je souhaite transmettre dans ce monde. Ainsi, je reçois mes consultants dans mon cabinet aujourd’hui, mais au début de ma carrière, j’ai parcouru de nombreux kilomètres pour me faire connaître, allant à la rencontre de mes clients. C’est la relation de confiance et la qualité de mon travail qui ont favorisé le bouche-à-oreille.

Aujourd’hui, je collabore avec divers partenaires, notamment des écoles privées comme l’ESMP, ainsi qu’avec les services de l’État, les forces de l’ordre et la préfecture. Je reste flexible dans mes collaborations, diffusant mes compétences et n’hésitant pas à me déplacer. J’ai souvent dépensé plus que je n’ai gagné dans ma vie, ce qui m’a permis de me faire connaître à l’étranger et dans d’autres villes de France. C’est un mode de vie que je maintiens car il me permet de combiner l’utile à l’agréable, ce qui correspond à ma personnalité.

J’aide des femmes noires , blanches , métisses qui ont perdu confiance en elles à retrouver leur assurance en une seule séance. J’accompagne ceux qui ont perdu espoir pour les aider à y croire à nouveau peu importe leur couleur de peau. J’aide à transformer tous ceux qui viennent à moi, car il n’a jamais été question de démarcher, mais de faire confiance à mes guides, à Dieu et à l’univers, ainsi qu’à ma propre capacité à être une excellente thérapeute.

Mon métier ne repose pas uniquement sur des aspects faciles et demande de nombreux sacrifices, que peu de gens comprennent. Cependant, je pars du principe que je n’ai pas à me justifier ; étant adulte et autonome, je gère ma vie comme je l’entends, tant que cela me convient. Mon énergie est contagieuse et devient une chaîne humanitaire. C’est cette foi qui m’a forgée et qui m’a permis de devenir une thérapeute unique.

 

Au cours de mon parcours, ma sœur de cœur, mon alliée dans la vie Lauren, partageant une vie similaire à la mienne et le goût du voyage, a uni son énergie à la mienne pour décupler la guérison de l’âme de toutes les personnes qui nous ont fait confiance.

Dans chaque projet, plus rien ne nous effraie ; nous restons curieuses de toutes les futures rencontres professionnelles que nous pourrions faire pour aider et avec lesquelles nous créons des souvenirs mémorables.

Grâce à elle, j’ai découvert le travail sur croisière. Lors de mes 37 ans, moi qui n’avais pas eu d’anniversaire à cause d’un événement familial qui avait perturbé mon énergie, j’ai saisi l’opportunité de célébrer. Ainsi, l’artiste musicale Nesly, très connue aux Antilles, à La Réunion et en France pour la musique zouk, R&B et soul, avec le DJ renommé DJ Jairo, m’ont souhaité mon anniversaire en chantant pour moi dans un restaurant gastronomique.

   

Cette expérience m’a montré que l’univers me soutenait et que Dieu m’aimait. Malgré toutes mes épreuves, j’ai réalisé que j’étais légitime pour vivre une vie à mon image, vibrante, joyeuse, festive, positive et extraordinaire que je sois blonde ou brune 😉.

À la même période, je diffusais à la radio pour atteindre mon objectif d’aider des personnes bénévolement.

 

Ensuite, j’ai continué à croire en de plus grands projets, ce qui m’a permis de me rendre aux États-Unis, où j’ai rencontré le groupe Harmonik et T-VICE .
Par le biais de Lauren, j’ai pu interviewer Reynaldo de T-Vice et Nickenson du groupe Harmonik. Ce dernier, en tant que maestro et compositeur, m’a composé une bande sonore pour l’introduction de mes interviews, en hommage à mon travail personnel réalisé.

  

J’ai réalisé que sans la foi, cette conviction que l’on peut réussir à être heureux(se), qui nous pousse à croire en nous-même et qui est indépendante de la religion ou des croyances personnelles, sans elle , on ne peut pas faire connaissance avec la véritable force qui nous mène à accomplir nos projets .

 
J’ai compris qu’attendre l’approbation de son entourage ou d’une personne pour réaliser un projet qui nous tient à cœur n’est pas nécessaire. Si on ne croit pas en nous, personne d’autre ne pourra mieux le faire à notre place. Au début, on nous demande pourquoi on fait cela, et ensuite, on nous demande comment on a  réussi.

Ma médiumnité m’a confirmé que l’être humain possède un pouvoir créateur qu’il n’exploite pas pleinement car il ne comprend pas comment l’utiliser, alors que c’est le moteur de ses propres réalisations.
J’ai souvent suivi mon intuition et dû patienter ou m’adapter à une réalité qui ne me convenait pas forcément. Puis, je me suis demandé quel(le) thérapeute fait ce que je fais : interviewer les artistes de manière intime sur leurs émotions et proposer mes services, prendre des risque et proposer des projets innovants. Aujourd’hui, je ne suis toujours pas riche ni suivie par des milliers de personnes sur les réseaux sociaux, mais j’ai gagné en crédibilité grâce à la personne que je suis devenue, j’ai agrandi mon réseau et j’ai créé ma renommée de par ma personne et mes compétences à l’international et ce n’est qu’ un début  .

Ma foi a transformé ma colère en discipline et détermination. Chaque jour que Dieu fait, je vise plus haut, non pas pour satisfaire mon ego, mais parce que je sais au fond de moi-même ce pourquoi je suis sur Terre. La transmission d’informations se fait également en étant authentique à travers tous mes écrits, mes directs, mes conférences, etc.

 

La foi, c’est croire que, malgré tous vos échecs, vous atteindrez vos objectifs et qu’en naissant en tant que « personne »  vous deviendrez un jour » quelqu ‘un » , cette personne pas comme les autres  sans obligation de devenir célèbre Car « On devient ce que l’on penses  et ce que l’on pense dirige nos actions ! »

 

 

 

 

 

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